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Une nouvelle prestation sur la toile : la gestion de la e-réputation. « Grâce au Web, l’économie de la réputation prend le pas sur l’économie de l’attention, le client s’organise et reprend la main sur l’offreur. Surtout si le vendeur maîtrise mal sa réputation en ligne. » constate Xavier de Mazenod. Cette théorisation d’une économie de la réputation vient à point nommé, dans une période où tous les observateurs s’accordent à dire que la crise économique est née d’un crach de la confiance.
Si la e-réputation se soigne (Adverbe explique comment), la confiance se mérite. Une leçon à méditer par nos apprentis sorciers de la finance mondiale.
La gestion de la e-réputation est offerte par ADVERBE, une société de service spécialisée dans les applications du web 2.0, également promoteur du télétravail et de l’enseignement à distance.
5 commentaires so far
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Communication sociale 
« offerte » c’est vite dit 😉
Mais c’est très vrai : la confiance, sur le Web aussi, se mérite.
Commentaire par Xavier octobre 16, 2008 @ 10:18« Maitriser » sa réputation en ligne demandera bientôt bien plus qu’une simple prestation :
Commentaire par Jean-Baptiste octobre 16, 2008 @ 9:52La réalité de l’entreprise ne se résume plus qu’a la somme des perceptions qu’en ont les agents.
Avec les médias sociaux, ce sont désormais toutes les parties prenantes qui peuvent s’exprimer, cela amène un paquet de nouvelles perceptions!
La réalité de l’entreprise s’en trouve modifiée, complexifiée.
Réalité de l’entreprise = Valeur = Cours de bourse
Cette crise n’est pas un crach de confiance, c’est l’entrée dans l’ère de la défiance.
Sans doute, la gestion des perceptions est une des composantes de la gestion de la réputation. Mais la réalité d’une entreprise n’est pas qu’un cours de bourse (la preuve, il existe des multinationales non cotées en bourse).
Commentaire par comsociale octobre 17, 2008 @ 9:00A signaler sur le même sujet la conférence de Christophe Asselin sur la e-réputation le 21 octobre prochain à Paris, qui est signalée par le blog caddE reputation 😉
http://caddereputation.over-blog.com/article-23809354.html
C’était effectivement un raccourci qui ne concernait que les entreprises cotées qui ne sont pas la majorité de nos entreprises.
Commentaire par Jean-Baptiste octobre 17, 2008 @ 11:47Réalité = valeur simplement alors ? j’essaie d’illustrer:
Lactalis est le 2ième groupe laitier mondial (président, le petit, bridelice,…) et n’est pas côté en bourse.
Lactalis décide d’abandonner le lait cru pour la fabrication du camembert, la dizaine d’irréductibles petits producteurs de camemberts au lait cru réagit.
Des reportages sont diffusés, des articles publiés, on en parle sur la toile,….
« La violence des attaques a semé le doute chez un certain nombre de consommateurs. » selon Luc Morelon, le directeur de la communication de Lactalis.
Résultat : Une chute des ventes qui pousse Lactalis a fermer la fabrique de LePetit et un retour à la reconnaissance de l’AOC pour le lait cru dans le journal officiel (du 18 spetembre dernier).
Lactalis est maintenant le grand méchant qui a voulu tuer notre camembert (le béret et la baguette pourrait suivre!!!), son image est profondément modifiée, les ventes chutent, une usine ferme.
Les perceptions ont été modifié, la réalité de l’entreprise aussi si l’on suit ma logique.
On ne peut pas se tourner vers le CAC 40 pour estimer sa valeur, mais je suis prêt à parier qu’elle a baissée.
@Jean-Baptiste : votre perception de la e-reputation est singulièrement imprégnée par l’actualité.
Alors qu’elle concerne toute la vie d’une entreprise, quelque soit sa taille.
Les crises (dont parle si bien Asselin dans le livre blanc) ne sont que des épiphénomènes de cette réalité.
La non-réputation ou la non gestion de la e-réputation sont peut-être même plus graves car elles n’ont pas d’effets spectaculaires. mais elles sont tout aussi destructrices de valeurs, y compris pour une TPE.
Commentaire par Xavier octobre 20, 2008 @ 2:13